Dans l’Algérie « française » il n’y eut jamais pour les indigènes une offre scolaire équivalente à celle de métropole. Aux yeux du lobby colonial, l’acculturation totale aurait été une aberration, elle deviendrait synonyme d’émancipation, puis de revendication voire d’indépendance.
Par ailleurs les petites médersa ouvertent presque uniquement aux garçons (voir l'ensemble des cartes), survivaient sans financement réel après la confiscation des "biens habous" en septembre 1830.
à écouter les conférences d'Aissa Khadri sur l'école en Algérie